Léo Ispir est artiste en résidence à La Chapelle Musicale Reine Elisabeth sous la tutelle de Gary Hoffman.
Nommé à 21 ans Révélation Classique de l’ADAMI 2023, Léo Ispir est lauréat de plusieurs concours internationaux : 4e prix du prestigieux Concours Bach à Leipzig, 1er prix Concours International de Violoncelle « Tremplin », le 1er prix ainsi que le « Grand Prize » au Gustav Mahler International Cello Competition…

Il débute le violoncelle à l’âge de 7 ans avec Isabelle Loubaresse au Conservatoire de Rouen. Après trois années au CRR de Paris dans la classe d’Hélène Dautry, il est admis à l’âge de 17 ans au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de Jérôme Pernoo.
Léo bénéficie des conseils d’Anne Gastinel au sein de l’Académie Jaroussky. Il a reçu des conseils auprès de maîtres tel Frans Helmerson, Sol Gabetta, Julian Steckel, Christophe Coin, Le Quatuor Ébène…

Léo Ispir se produit en soliste avec différents orchestres : Orchestre Appassionato, Bilkent Symphony Orchestra, ORF Radio-Symphonieorchester Wien, Pauliner Barokensemble… Par ailleurs, Léo a eu de nombreux partenaires de musique de chambre tels que Le Quatuor Modigliani, Gautier Capuçon, Augustin Dumay, Claire Désert, Franck Braley, Lucas Debargue, Raphaël Pidoux, Emmanuel Strosser, Jean-Claude Vanden Eynden, Anne Gastinel…

Il s’est produit notamment au Georges Enescu festival, Les folles journées de Nantes, Les flâneries musicales de Reims, Schiermonnikoog Festival, Festival Ravel…

Léo Ispir est lauréat de la Fondation Gautier Capuçon grâce à laquelle il enregistre en 2024 un album en duo avec son frère violoniste Luka Ispir sous le label Warner Classics/Erato. En Janvier 2025, les frères Ispir enregistrèrent un album accompagné par le ORF Radio- Symphonieorchester Wien dirigé par Howard Griffiths.

Il est membre de l’octuor Cello8 avec lequel il a enregistré un album « ode à la nuit » sous le label Mirare.
Passionné de musique ancienne, Léo étudie également la viole de gambe dans la classe de Philippe Pierlot au Conservatoire de Bruxelles.

Léo Ispir joue avec un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume prêté généreusement par Michael Guttman.