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Contrastes et Surprises – Orchestre de Picardie
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Agenda

DISTRIBUTION
DU CONCERT

DATES
ET LIEUX

mardi 31 mars 20h00 Épernay icone billeterie à cliquer

Le Salmanazar - Théâtre Gabrielle Dorziat

1 Rue du Théatre, 51200 Épernay

vendredi 10 avril 20h00 Roye icone billeterie à cliquer

Théâtre de l'Avre

Boulevard du Général Leclerc 80700 Roye

PROGRAMME
DU CONCERT

Jacques Ibert
Hommage à Mozart
Ludwig van Beethoven
Concerto en ré majeur pour violon et orchestre, op.61
Wolfgang Amadeus Mozart
Symphonie n°38

Robuste, plein de verve orchestrale et de saveurs harmoniques épicées : c’est un Hommage à Mozart assez différent des conceptions souvent éthérées de l’illustre salzbourgeois que Jacques Ibert avait concocté en 1956 à l’occasion du bicentenaire de sa naissance.
En-tout-cas, ce brillant « Rondo » néoclassique constituera une ouverture particulièrement bienvenue à ce programme dominé par deux immenses « classiques » du répertoire symphonique.

« Poème amoureux » selon certains, et qui aurait été secrètement dédié à la bien-aimée Thérèse de Brunschvicg, l’unique concerto pour violon de Beethoven représentait surtout une incroyable nouveauté par rapport aux modes et traditions du genre à l’époque. Son ampleur symphonique, sa noblesse de style, le rôle inhabituel qu’y jouent les timbales déroutèrent la critique lors de la création à Vienne en 1806. Et ce n’est qu’à partir de 1844, quand l’illustre virtuose Joseph Joachim l’inscrivit à son répertoire, que l’œuvre prit la place qui lui revient parmi tous les autres concertos pour violon : la première.

Créée à Prague en janvier 1787 (d’où son sous-titre), la Symphonie n°38 en ré majeur marque une évolution décisive dans l’art symphonique de Mozart. Son introduction lente notamment, présente des développements gigantesques pour l’époque et que l’on ne retrouvera que chez Beethoven.
D’une expression divinement mystérieuse, l’Andante soumet la grâce indéfinissable de son thème à des sombres teintes harmoniques, à de poignants accents de douleur. Un jeu permanent entre la beauté du chant et le « travail des motifs », entre le charme et la profondeur, le lyrisme et le drame, se dissimule sous l’évidence d’une ligne mélodique, constamment renaissante.
Enfin, si le Presto s’ouvre sur un opportun rappel d’un air des Noces de Figaro, on ne manquera pas d’en relever la parenté rythmique avec le motif syncopé de l’Allegro du premier mouvement… Comme si l’étourdissante vivacité propre à l’opéra buffa prêtait main-forte à l’énergie souverainement symphonique qui emportera ce Finale du début à la fin.

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